Notre pays traverse une crise sanitaire sans précédent. Une crise dont les répercussions affectent désormais tous les aspects de nos vies, et qui trouve probablement son origine dans les maux que dénoncent les écologistes depuis des décennies : surexploitation animale et élevages intensifs, insécurité alimentaire, mondialisation non contrôlée des échanges, délocalisations, insuffisance des moyens octroyés au secteur de la santé…

Malgré la gravité de la situation et les mesures prises dans le pays pour faire face à la pandémie, le Président de la République a annoncé  hier soir que la vie démocratique devait suivre son cours et que les élections municipales se dérouleraient bien les 15 et 22 mars.

Plus que jamais, il faut saisir cette occasion pour préparer notre ville aux chocs des crises que nous allons être amené-es à vivre. La pandémie du covid19 n’est pas seulement une crise sanitaire. C’est déjà une crise boursière. Ce sera demain une crise économique. Face à ça, l’urgence est au respect du vivant, à la promotion de gestes et de comportements sobres en ressources et en énergie, à la relocalisation de l’économie.

L’urgence est aussi à la solidarité, à la coopération entre toutes les collectivités, au courage face aux défis qui nous attendent, à la lucidité face à la gravité de ce que nous vivons. Depuis plus de 40 ans, de René Dumont à Greta Tounberg en passant par Nicolas Hulot, les écologistes alertent, proposent et expérimentent des solutions de résilience, et de résistance aux catastrophes écologiques et sanitaires.

C’est de cette histoire et de cette expérience qu’hérite la liste que je mène : Choisir l’écologie pour Montpellier. Et c’est la seule liste capable d’emmener Montpellier vers son indispensable transition. Celle d’une ville et d’une métropole à l’échelle humaine, une ville préparée aux chocs et aux crises, une ville qui ne laisse personne de côté.

Pour le climat, pour nos enfants, dimanche, choisissez l’écologie pour Montpellier.